Comment survivaient les Sahariens quand la sécheresse, les fléaux naturels ou les guerres les réduisaient à la famine ?
Leur connaissance de la nature leur permettait de tirer profit des moindres moyens susceptibles de sauver leur vie, ne serait-ce que quelques jours ou quelques mois. L'auteur nous décrit minutieusement tout ce qui pouvait calmer la faim au Sahara central : minuscules graines récoltées sur toutes sortes de plantes, ou dans les fourmilières, consommation de feuilles, de petits fruits, de racines, de gommes voire même d'argile ou de vieux os broyés en poudre.